Premier volet d’une saga vrombissante amené à compter onze épisodes,Fast and Furious a repris à son compte la dynamique de Point Break en la transposant dans le monde des courses de voitures illégales. Formidable véhicule pour son acteur vedette Vin Diesel, le film est parvenu à amasser 207 301 667 dollars aux box-office mondiale l’année de sa sortie. Un score depuis largement dépassé par la plupart des suites.
La nuit tombée, Dominic Toretto règne sur les rues de Los Angeles à la tête d’une équipe de fidèles qui partagent son goût du risque, sa passion de la vitesse et son culte des voitures de sport lancées à plus de 250 km/h dans des rodéos urbains d’une rare violence. Ses journées sont consacrées à bricoler et à relooker des modèles haut de gamme, à les rendre toujours plus performants et plus voyants, à organiser des joutes illicites où de nombreux candidats s’affrontent sans merci sous le regard énamouré de leurs groupies. A la suite de plusieurs attaques de camions, la police de L.A. décide d’enquêter sur le milieu des street racers. Brian, un jeune policier, est chargé d’inflitrer la bande de Toretto, qui figure, avec celle de son rival Johnny Tran, au premier rang des suspects.
La saga Fast and Furious est emblématique et quelle voiture choisir parmi toutes celles que les héros achètent, vendent, détruisent, volent… La Nissan Skyline est un des choix les plus évident. Présente dès le court-métrage The turbo-charged prelude établissant la liaison entre le premier volet et le second, la Nissan Skyline est une légende dans les courses de rues, et probablement l’une des plus belles voitures conduites par le regretté Paul Walker.
