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Jardin du Luxembourg

Saga John Wick
Film John Wick 4 Chad Stahelski (2023)
Le tueur à gages Caine (Donnie Yen) se cache pour écouter sa fille alors que celle-ci s'entraîne dans le jardin du Luxembourg. Il est vite repéré par les hommes du Marquis de Gramont (Bill Skarsgård). Ces derniers le conduisent alors auprès de leur patron afin de lui proposer une offre impossible à refuser.
Jardin du Luxembourg
Paris Jardin du Luxembourg by Patrick Giraud. Wikimedia.

Penses à ta fille.”

Le Marquis de Gramont (Bill Skarsgård)

La scène du jardin du Luxembourg, bien que courte, est primordiale en cela qu’elle introduit Caine, le personnage incarné par Donnie Yen. Superstar du cinéma d’arts-martiaux, Donnie Yen, un acteur chinois notamment connu pour la saga Ip Man, a ainsi fait le déplacement à Paris pour tourner dans John Wick 4.

Une star au premier plan

Dès son arrivée sur le projet, Donnie Yen a tenu à apporter quelques modifications. Il se confiait à ce sujet dans le magazine GQ : “Mon personnage s’appelait Shang ou Chang. Pourquoi ne pouvait-il pas avoir un nom normal ? Pourquoi son nom devait-il être aussi générique. Il y avait aussi un problème de costume. Mon personnage portait un col Mao. Pourquoi tant de clichés ? C’est un film John Wick. Tout le monde est supposé être cool et classe. Pourquoi mon personnage ne pouvait-il pas être cool et classe lui aussi ? » Et c’est ainsi que Chang est devenu Caine, un assassin aveugle contraint d’affronter son ami John Wick.

Tournage cordial

Donnie Yen a aussi exprimé sa joie après avoir collaboré avec Keanu Reeves et Chad Stahelski : “Keanu Reeves est une âme merveilleuse, un gentleman, le meilleur gars avec qui j’ai jamais travaillé. Juste quelqu’un de formidable, comme Chad. Jusqu’à présent, John Wick 4 a été ma meilleure expérience dans un film américain.

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Keanu Reeves et Donnie Yen collaborent pour la première fois dans John Wick 4.

John Wick 4 Jardin du Luxembourg
John Wick. Jardin du Luxembourg. Tous droits réservés : Lionsgate/Thunder Road Pictures

Le Jardin du Luxembourg

Marie de Médicis a changé la destinée de cet hôtel particulier et son parc de huit hectares construit en 1581 par le duc François de Luxembourg, qui lui a donné son nom.

Souhaitant quitter le Louvre qu’elle trouve trop sale, la veuve d’Henri IV et mère de Louis XIII, rachète les lieux en 1611. Elle les propulse dans une autre dimension avec la construction d’un palais inspiré de celui de Pitti à Florence. La venue d’artistes italiens pour le décorer et l’augmentation de la superficie du jardin dont elle confie la conception et l’aménagement à Jacques Boyceau puis à André Le Nôtre y font beaucoup pour la beauté du lieu.

A sa mort, en 1642, le domaine reste dans la famille royale puis, à la Révolution, les lieux font office de prison où sont notamment retenus Georges Danton et Camille Desmoulins. Le jardin tombe à l’abandon. Le Directoire s’installe au Luxembourg à partir de 1795 et après le coup d’État du 18 brumaire (9 novembre 1799), Napoléon Bonaparte décide d’y établir le Sénat tout en souhaitant que les jardins soient destinés aux enfants et aménagés en conséquence.

Les grands travaux du baron Haussman réduiront légèrement sa superficie, et celle-ci ne sera plus modifiée par la suite. Aujourd’hui, le parc compte 25 hectares, dont 23 ouverts au public avec des serres, une orangerie, 160 statues, tout en étant bordé par le palais du Luxembourg, le petit Luxembourg, le musée du Luxembourg, premier musée français ouvert dès 1750, et l’ancien hôtel de Vendôme.

Un cadre sublime pour un écrin très prisé des Parisiens. Les distractions sont nombreuses avec des kiosques à musique, terrains de boules, parties d’échecs, jeux, promenades, expositions, bassins où naviguent de nombreux bateaux miniatures, et même des initiations à l’apiculture sans oublier les nombreux bancs, tables et 4.000 chaises à disposition des visiteurs.

Y aller
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Fanspots Stories New York

Fanspots Stories New York

Découvrez les secrets des lieux cultes des plus grands chefs d’œuvre de la pop culture à New York !

Capitale mondiale de la pop culture, New York incarne une liberté de création débridée. La ville qui ne dort jamais a été la muse d’un grand nombre de réalisateurs, acteurs, scénaristes, chanteurs, musiciens, dessinateurs et écrivains…

Beaucoup ont transmis leur fascination pour la cité auprès du grand public et rendu mondialement célèbres quelques uns de ses lieux, les faisant passer dans la légende de la pop culture. Ce sont les secrets de cent d’entre eux que révèle ce premier volume de la collection Fanspots Stories.

Le saviez-vous ?
Savez-vous que le tournage du clip du titre Sleep Now in the Fire de Rage Against The Machine a provoqué l’arrêt de Wall Street pour la première fois depuis 1929 ; qu’Alfred Hitchcock a tourné des scènes de La Mort aux trousses en caméra cachée à l’ONU ; que David Schwimmer, l’interprète de Ross, ne savait pas où se trouvait l’immeuble de Friends avant de se retrouver par hasard dans le restaurant du rez-de-chaussée ; que John Carpenter fut le premier réalisateur que la ville autorisa à tourner au pied de la statue de la Liberté pour New York 1997 ; que Michael Jackson a tourné deux fois dans le même station de métro de Brooklyn ; ou encore que la photo sur la pochette des Ramones fut prise à côté du CBGB, où ils firent leurs débuts ?

Fanspots Stories New York, c’est aussi
La caserne de SOS Fantômes, le célèbre pont d’Il était une fois en Amérique, le Katz’s Delicatessen de Quand Harry rencontre Sally, l’immeuble de Friends, l’appartement de Carrie Bradshaw dans Sex and the City, le Daily Planet de Superman, la bouche de métro de Marilyn Monroe, le Chelsea Hotel de Leonard Cohen, la station de métro du mythique clip Bad de Michael Jackson, l’Albert’s garden des Ramones, la Paul’s Boutique des Beastie Boys, l’immeuble de Physical Graffiti de Led Zeppelin, la tour où DJ Kool Herc a créé le hip-hop, le Baxter Building des Quatre Fantastiques, le Daily Bugle de Spider-Man, le Plaza de Gatsby le magnifique, le Brooklyn Bridge de la Trilogie new-yorkaise de Paul Auster, le Birdland évoqué par Jack Kerouac dans Sur la Route…

Réalisé par une équipe de spécialistes de la pop culture et agrémenté par de nombreuses anecdotes, Fanspots Stories New York raconte bien plus qu’une histoire : il s’agit de quelques-unes des histoires les plus fascinantes de la pop culture.

Fanspot Stories New York
100 lieux cultes pop
un concept unique et inédit
224 pages de plaisir
un beau livre grand format 24 x 30, dos rond tranchefil

L'avis de Fantrippers
Qualité du contenu

Intérêt pour les fans

Rapport qualité/prix

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Par Gilles Rolland

vendredi 31 mars 2023

Passionné de cinéma, de rock and roll, de séries TV et de littérature. Rédacteur de presse et auteur des livres Le Heavy Metal au cinéma, Paroles de fans Guns N' Roses, Paroles de fans Rammstein et Welcome to my Jungle : 100 albums rock et autres anecdotes dépareillées. Adore également voyager à la recherche des lieux les plus emblématiques de la pop culture.

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